La maison de Liâm

Il regarda le médecin un peu étonné.

-La gueule de bois? Impossible il n'a pris que de l'eau

Mais réfléchissant à ce qu'ils avaient fait avant d'y aller, il continua:

-Eh... mais oui, avant qu'on ne sorte on a mangé et je lui ai servi du vin. Il l'a bu cul sec Déjà à ce moment il n'a pas semblé très bien. Désolé de vous avoir fait venir pour une simple gueule de bois Si j'avais su...

Zack vit Liâm sortir de la piéce en disant qu'il aller voire un médecin. Quelque minute plus tard, il revient avec le fameux médein qui avait lui aussi son clone a coter...Zack le regardat les sourcils a moitier froncer pour essayer de mieux voire la personne, sans grand succés. Il se sentis soulever du lit sans qu'il puisse faire quelque chose, et le medecin commançat a l'examiner. Un peut plus tard le medecin commançat a parler et Zack ne comprit strictement rien a part, taverne, tranquille, boire, café.

*Hein ? Donc en gros j'était a la taverne mais je peut être tranquille, je dois boire du café ? *

Le garçont écoutait se que disait Liâm, et la aussi il ne comprit rien...Zack restat a moitié assit et regardat les quatres personnes. [Liâm foix deux + Le médecin fois deux...]Puis en s'adressant aux médecins (le mauvais come par hasard) il lachat la phrase qu'il avait pensé auparevant...

-Comment sa, j'était a la taverne mais je peut être tranquille car je peut encore boire du café ?

Je regardis le jeune homme et ne pu retenir mon fou rire. Il parlait avec une voix très enfantine et peu assurée mais le plus drôle était sans nul doute sa mine décontenacée et ses cheveux en batailles.

Il me fallu quelques atroces minutes pour me calmer. Quand le fou rire me prends c'est toujours délicat de m'en défaire.

"Je suis désolé. Me tournant vers mon patient : c'est un peu cela. Disons que tu n'as pas de soucis à te faire du moment que tu te contentes de boire du café..."

Je le fis se rallonger en douceur, vérifiant encore une fois qu'il n'avait pas de fièvre, puis lui sourit : il était adorable.
Je me levais alors et demandais à l'autre garçon leurs noms et l'autorisation d'établir un carnet de santé par mesure de précaution.

"En ce qui concerne le déplacement, il faut que tu saches qu'un médecin ne se déplace jamais pour rien. Je préfére cent fois venir constater qu'une personne tient mal l'alcool plutôt que le décès d'une personne qui à trop tardé à me prevenir pour une raison ou pour une autre."

-Oui, bien sur

Il se gratta la tête toujours aussi mal à l'aise.
Voir le médecin rire aussi spontanément l'avait détendu, mais sa gêne était revenue dès qu'il s'était de nouveau adressé à lui.

-Pas de problème pour le carnet, mais il ne devrait pas y avoir grand chose à complèter.

Il désigna Zack du menton:

-Lui n'est même pas vraiment en état de vous répondre d'ailleur. Mais dite toujours ce que vous voulez savoir doc.

[Désolé Zack, je monopolise Liâm !]

Je sentis à nouveau le fou rire revenir en voyant sa mine déconfite mais je fis un gros effort pour le retenir, il semblait tellement mal à l'aise... Inutile d'en rajouter.

J'ouvris mon sac pour en sortir de l'aspirine et deux carnets de santé vierges.

"Est ce que tu pourrais me donner un verre d'eau s'il te plait ? En ce qui concerne les carnets, ne te fais pas de soucis ce sera rapide : les questions habituelles, noms, prénoms, âges, sexes etc... Ca ne prendra que quelques minutes. Ensuite j'aurais besoin de savoir si vous avez déjà été victimes de maladies contagieuses et si vous avez des antécédents familiaux dans d'autres."

Ouh là, ce fut dur et éprouvant : j'avais depuis longtemps perdu l'habitude de tutoyer les personnes qui m'entouraient.

-De l'eau? euh oui bien sur.

Il se dirigea vers le coin cuisine et servi donc un verre au médecin.

-Tennez.

Il écouta ce qu'il lui disait.

-Je veux bien mais je ne sais pas grand chose à propose de lui on s'est juste rencontré ce matin.

Il tenta de chercher dans sa mémoire ce que le garçon pouvait lui avoir dit sur lui.

-Désolé, mais je sais juste qu'il s'appel Zack Quand à moi c'est Liâm et j'ai 20 ans... à peu de chose près... enfin, je crois. Je me souviens pas avoir été gravement malade Quand au antécédants familiaux... ben, je sais pas

*faudrait que j'ai connu mes parents pour savoir ça*

Zack avait un air de débile mental, il avait la bouche légérement entre ouverte, les yeux par contre eu grand ouvert, essayant de déchifré les tonnes de mot que disais l'homme avec une cape. Il en compris particuliérement un....Son prénom, sinon tout le reste c'était de l'allemend...

Il fronçat les sourcils, maintenant il voyait flou et en double o_O Il regardat le médecin d'un air bizzare. Il tournat imédiatement la tête vers Liâm quand il entendit son prénom et son age.

***Ah ? donc il a vingt ans ?***

Sa fatiguait Zack d'essayer de compendre se qu'il disait ou de lutter contre le sommeil mais il n'avait pas envie de s'endormir alors que y'avait des gens ici, dont un inconus...Il resisté du mieux qu'il pouvait.

"Merci."

Je pris le verre d'eau que me tendait Liâm et me dirigea vers Zack. Je lui fit doucement avaler l'aspirine que je venais de diluer à l'intérieur.
Puis je revenais à nouveau vers Liâm. J'écrivais, tout en l'écoutant, le peu d'informations qu'il avait.

"Tu sais, il n'y aucune honte à ne pas avoir beaucoup d'informations sur ses origines. C'est un peu le cas de tout le monde à Arkanium... Mais, je dois avouer que cela me surprend que tu prennes tant soin d'une personne qe tu ne connais que depuis ce matin. C'est bien rare dans cette ville..."

Liâm n'aurait pas été tel quel j'aurais eu des doutes sur ses intentions mais Zack n'avait pas l'air d'avoir subit des sévices. Je mis donc ma méfiance habituelle de côté.

"Je suis désolé, je réalise tout juste que, dans la précipitation, je ne me suis pas présenté ! Je m'appelle Aerin et je suis enchanté de faire votre connaissance à tous les deux."

Je souris du mieux que je pouvais. Ils avaient l'air tellement différent des gens de la cours... C'était pour moi comme un bol d'air frais.

A la remarque du mèdecin il répondit simplement:

-Vous savez entre gens du peuple faut s'entraider pasque c'est pas les aristo qui vont se retourner sur nous

Puis réalisant à qui il parlait, il se reprit précipitement:

-Bien sure il y a des exceptions comme vous, mais faut avouer que c'est plutot rare. Mais je crois que si chacun reste accroché à ses possessions comme un chien à son os, rien n'évoluera jamais.

*Bon j'arrète de l'ennuyer avec mes idées je dois l'énnerver *

Je souris :

"Tu peux me dire ce que tu penses franchement. Tu as raison d'affirmer tes opinions et pour tout te dire je suis totalement d'accord avec toi. Ce n'est pas comme si j'avais toujours été l'un des leurs si on peut dire cela comme ça... Ca me désespère de voir la majorité des gens que je croise se trainer devant moi. Je préfère de loin ta sincérité à leur hypocrisie !
Mais je ne suis pas ici pour paler de politique. Je ne vais pas vous déranger plus longtemps. Je passerais demain pour voir s'il va mieux. Préviens moi, s'il a le moindre problème."

Je rangeais mes papiers et serrais sa main.