le stadium

entre dans la caserne, ne daigne parler à personne....

M'entraine pendant de longue heure avec ma chère Masamune (sa lame)... enfin la pause vint, je m'asseiya dans mon coin...

"Quand enfin le rencontrerais je..."

Je parlais evidemment du chef de l'armée, avec qui je devais m'entretenir puisque je venait d'arriver parmis ces mercenaires....

marche au hasar dans le domaine.
me retrouve a un moment donné a la caserne
me rapel des entrainement aux armes que je deteste.
soupir

"c'est vraiment barbar tous ca...."

regarde les combattants qui s'entrainent, d'autre qui discutent ou se rafraichissent a la fontaine

soudain je vois tout les mercenaires se mettre en rang... je suis le troupeau et me met également en rang.... soudain un homme cri

LE PRINCE EST PARMI NOUS!!!

Respectueusement nous le saluons

voit de l'agitation et entant quelqu'un dire que je suis la
soupir et baisse la tete

*je ne peut jamais etre tranquil....
*je devrai me deguiser*

fait un petit sourir timide

*il me regarde tous j'aime pas....*

rougit
tranverse la caserne la tete baissée pour ne pas croiser leurs regards

On m'ordonna d'aller voir le prince afin de demander si tout allait bien....
Je me mit en face de lui mon expression sur le visage était de glace...

"vous n'avez besoin de rien ?"

Attendant une réponse du prince

leve la tete vers l'homme que je n'avais encore jamais vu

*Je vais avoir droit a une lecon de moral...*

rebaisse les yeux sous le regard glacial de l'autre homme

"iie....iie je n'est besoin de rien...
je....vous pouvez continuer...."

l'homme me toisé en hauteure se qui m'empressionait encore plus, il faut dire que la plus part des gens etait bien plus grand que moi. Se que mon pere deploré la encore : un fils chetif, timide, petit... il en avait honte

Je m'asseiya a coté du jeune homme

"Vous ne devriez pas être ici"

Puis le fixa dans les yeux

"je vous raccompagne, avant que votre père ne vous fasse entendre parler du pays"

soupir

*queque je disai....*

fait oui de la tete

"hai...daccor"

le laisse me ramener au palais