La carierre

Admin Nombre de messages : 64 Date d'inscription : 28/07/2006

*Pour tous les entrainement a cheval*

Après avoir passé une nuit désagréable
J'entra a la carrière montant sur un étalon noir au regard de braise

*Qu'est ce qui m'a bien prit de lui parler ainsi de mon malheur...*

Ne cesse de pensé a la rembarde de fer qui s'était brisé et aux gens qui n'avait bouger le petit doigt quand le prince avait tourner de l'oeil

*Qu'est ce qui cloche avec ce gamin...*

Seiken était là en train de caresser son cheval quand il vit Ikari arriver sur un grand destrier noir.

* Il a dut passer un désagréable moment...comme moi apparement...*

Il donna de l'avoine à son cheval puis attendit qu'Ikari arrive à sa hauteur.

* Je me demande qui éleve nos chevaux avec tant de soin...*

Il salua Ikari respectueusement.

Je le salua a mon tour puis descendit de mon cheval
m'asseiya proche de lui

"Je n'ai pas vraiment pu m'entretenir réellement avec vous"

Puis je le regarda

"Mais je suis bien trop en colère pour rater l'occasion de devenir plus fort qu'avant..."

Pour une raison peu banal je me senti en confiance avec cette homme....

Seiken laissa galoper son cheval dans le pré.

Il regarda Ikari.

" Parlez moi un peu de vous Ikari..."

Il n'aimait pas particulièrement parler mais se sentait en confiance avec cet homme.

" J'aimerai savoir qui j'ai engagé..."

"Et bien... habituellement je n'aime pas vraiment parler de moi... ni de mon passé mais je ferais une exception"

Un sourire inhabituel se déssina sur mes lèvres

"Je faisait partit d'un clan, le clan Masamune, une très grande famille dans un village retiré du monde... j'ai passé mon enfance en tant que fils du chef du clan, j'ai même hérité de la lame sacré de mon village... mais ils furent tous massacrer devant mes yeux...."

Puis je le fixa

"Maintenant que je me suis confier puis je en apprendre sur vous ?..."

" Moi ? "

Il eu un petit sourire.

" Eh bien moi je viens de la basse société ; j'ai été vendu à la famille royale en échange d'argent...j'ai gravis les échellons et maintenant je suis chef de l'armée..."

Il le regarda en attendant sa réaction.

" Alors ? "

"Incroyable"

Je continuait de le fixait avec une certaine admiration

*Qu'est ce qu'il me prend...*

Je me leva

"Celà a du être dur pour vous d'en arriver jusqu'ici..."

" Assez oui mais il était pour moi hors de question de rester un larbin donc j'ai fait ce qu'il fallait pour monter dans la hiérarchie. Et j'ai réussi."

Il se leva à son tour.

" Je vous demanderai de garder ça pour vous si vous le voulez bien "

Son ton de voix était doux et assez aimable pour une fois.

"Bien sur, je vous demande de même pour moi"

Mon expression de glace était transformé
Mon visage plus chaleureux
Je souria doucement
Continuant de fixer Seiken

Au sourire d'Ikari, Seiken ressentit une vague de chaleur se lover dans ses reins.

On aurait dit que le mercenaire lui faisait de l'effet.

Il s'approcha d'Ikari jusqu'à n'être qu'à quelques centimètres de lui.

" Je suis sûrement fou..."

Il l'embrassa tendrement.

J'ouvrit de grand yeux
en sentant les lèvres de seiken se déposer sur les miennes....

Mais celà ne m'était pas désagréable pour autant....
Je me laissa faire sans comprendre pourquoi

Il noua ses bras autour du cou d'Ikari et approfondit le baiser. Sa langue danca avec celle du mercenaire.

" Mmmh ..."

Seiken s'allongea sur l'herbe, Ikari au dessus de lui.

C'était la première fois de sa vie où il se trouvait en position d'infériorité.

Il glissa une main sous le vêtement d'Ikari.

Mon regard croisa celui de Seiken...
Je me baissa pour aller l'embrasser
Au fur et a mesure
Je fini par me retrouver cette fois en dessous de lui
Apréciant ses doux baisers...

Seiken entreprit de défaire le pantalon d'Ikari quand il vit un autre mercenaire arriver dans leur direction ; il se leva donc.

" Si tu veux...ce soir tu peux venir chez moi "

Il l'aida à se relever.

" Tu embrasses très bien. "

Il partit.

Je me posa vraiment des questions

"Pourquoi ai je fais celà..."

En voyant l'autre mercenaire
je le salua brèvement
Puis m'en alla